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tableau historique 
tableau des 16 paradoxes
suite :   
la rose de la Ste Chapelle

 l'architecture gothique
dite "flamboyante"
au 15ème et 16ème siècle
 
 
 
 
 
 
accès direct :
    au tableau qui résume l'évolution de la musique et de l'architecture pendant le moyen-âge
 
     à la rose de la Sainte-Chapelle de PARIS (15ème siècle)
     à la tapisserie de la Dame à la Licorne (15ème siècle)
 
     à la rose sud de la cathédrale d'AMIENS (16ème siècle)
     au décor "flamboyant" de la chapelle du Saint-Esprit de RUE (16ème siècle)
 
[ Pour une lecture rapide on peut passer directement aux exemples ci-dessus ]
 
 
 
Rappel de généralités, et liens vers les autres textes du site qui développent ces notions :
[en principe ces textes doivent s'ouvrir dans une autre fenêtre]

Repère :
Dans le développement de la complexité de la société humaine, la société de cette époque se situe  dans le "cycle du noeud" qui fonctionne "en organisation", et correspond aux deux premières étapes de ce cycle.
Le gothique du 15ème siècle s'analyse de la même façon que l'art italien renaissant du 15ème siècle, et le gothique du 16ème siècle est de la même façon l'équivalent pour l'Europe du Nord de ce qu'est l'art maniériste en Italie.

Fonctionner en organisation,
cela signifie pour l'architecture et les arts plastiques, fonctionner de façon "intérieure / extérieure" : l'un des 4 paradoxes enrôle les trois autres à son service et apparaît en tant que paradoxe dominant.

Le paradoxe d'état dominant dans l'art gothique au 15ème siècle est le "relié / détaché".
Comme dans l'art italien de la Renaissance, il enrôle à son service les paradoxes : "le centre à la périphérie", "entraîné / retenu", et "mouvement d'ensemble / autonomie" [voir le tableau qui résume cela].

Le paradoxe d'état dominant dans l'art gothique au 16ème siècle est "le centre à la périphérie".
Comme dans l'art maniériste italien, il enrôle à son service les paradoxes : "relié / détaché", "entraîné / retenu", et "mouvement d'ensemble / autonomie" [voir le tableau qui résume cela].

La musique utilise systématiquement le paradoxe dominant qui sera le paradoxe dominant lors de l'étape suivante dans les arts plastiques.
Ainsi, dans la musique du 15ème siècle, c'est le paradoxe du "centre à la périphérie" qui est le paradoxe dominant, tandis que dans la musique du 16ème siècle c'est le paradoxe "entraîné / retenu", paradoxe qui ne sera dominant qu'au 17ème siècle dans les arts plastiques, à l'époque dite "baroque et classique".

Un effet analytique exprime isolément chacun des deux aspects du paradoxe, tandis qu'un effet synthétique suggère ce qu'il y a de paradoxal dans le fait de ressentir simultanément ces deux aspects [revoir l'explication de ces notions].
 
 

Avertissement :
Il est rappelé qu'en plus des 4 paradoxes "d'état" qui sont analysés ici, il existe plusieurs paradoxes "de transformation" qui ne sont pas envisagés pour le moment dans les analyses de cette partie du site.


 

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