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13 - un / multiple
6
effet synthétique
s14
croquis Tschumi - la Villette   a - une forme se lit en ensemble unique continu, mais des inflexions la font également lire divisée en tronçons ou en îlots distincts

croquis Mas d'Azil   b - une forme se lit en ensemble unique continu, mais des effets dynamiques peuvent aussi l'écarteler en de multiples parties

1 - cet effet s'appuie sur le paradoxe n° 14 14 regroupement réussi / raté : à l'intérieur d'une forme unique continue, des inflexions ou des effets dynamiques procurent une présence autonome à chacune de ses multiples parties
2 - l'appui fonctionne à l'aide du paradoxe 15 fait / défait : fait l'un et l'autre des deux aspects paradoxaux
3 - il s'organise au moyen du paradoxe 16 relié / détaché : les différentes parties autonomes restent reliées en continu dans une même forme
4 - il est noué par le paradoxe clef 1 le centre / à la périphérie : l'unité continue de la forme est stablement assurée, mais elle est déstabilisée par les inflexions ou les dynamiques qui l'animent

Justification du caractère synthétique de type lecture : on ne peut pas lire la forme en continu sans être sollicité par les inflexions ou dynamiques qui l'animent, de telle sorte que nous ne pouvons pas considérer son unité sans considérer sa division en de multiples zones ou pôles à la dynamiques autonome

l'exemple de référence

Expression a - cas des inflexions à l'intérieur d'une forme continue :
voir l'image aller à l'analyse  étape D0-34 en Occident - Tschumi (né en 1944) - les cheminements du parc de la Villette à Paris : l'ondulation qui accompagne les cheminements est une forme continue, et donc unique, que ses montées et descentes successives divisent en de multiples tronçons
croquis Tschumi - la Villette


Expression b  - cas de l'écartèlement d'une forme unique vers des pôles dynamiques séparés :
voir l'image aller à l'analyse  étape B0-20 - le faon aux oiseaux du Mas d'Azil : la sculpture se lit comme une unique grande forme triangulaire terminant en éventail un bâton, mais si on la lit de façon dynamique, c'est-à-dire en suivant les lignes de force qui s'en dégagent, alors on la décompose en trois pôles bien écartés : celui des oiseaux à un bout, celui de la tête à un autre bout, et enfin, par en bas, celui de l'attache des pieds sur le bâton
faon du Mas d'Azilcroquis Mas d'Azil


utilisation aux époques préhistoriques

étape B0-14 - l'allée des cerfs à Lascaux : [expression b] on peut lire la tête comme une zone en creux unifiée à l'intérieur d'un trait, ou comme deux traits qui se séparent
Lascaux


utilisation aux époques anciennes


utilisation aux époques plus récentes


utilisation à l'époque contemporaine

dernière mise à jour de cette fiche : 24 décembre 2006

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