accueilliste des effets propres à ce paradoxe 
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s15  une
forme est regroupée en continuité homogène avec son
environnement, et, par ailleurs, elle s'en détache visuellement1 - cet effet s'appuie sur le paradoxe n° 15  fait / défait :
si on lit le rassemblement continu de la forme avec son environnement, on
nie l'existence même de cette forme en tant que forme
séparée. À l'inverse, pour lire cette forme
séparée, il faut nier sa continuité,
pourtant réelle, avec son environnement2 - l'appui fonctionne à l'aide du paradoxe 
relié / détaché : la forme qui se détache visuellement
de son fond est liée à lui en continuité homogène3 - il s'organise au moyen du paradoxe 
le centre / à la périphérie : la continuité homogène
de la forme avec son fond est stablement établie, mais un effet visuel
lui permet de se détacher dans notre perception, ce qui perturbe l'effet de continuité4 - il est noué par le paradoxe clef 
entraîné / retenu : on hésite entre l'alternative de
considérer que la forme est complètement continue avec son
fond et l'alternative de lire que la forme se détache visuellement
de son environnementJustification du caractère synthétique de type lecture : l'instabilité de perception qui est à la base de cet effet implique que nous soyons simultanément tentés de lire la forme continue à son environnement et se détachant de son environnement |
étape D0-23 - Matisse (1869 - 1954) - Vénus (gouache découpée) : le
volume blanc de la Vénus est rassemblé en continuité
parfaite avec le blanc du reste de la feuille qui le prolonge, aussi bien
au niveau des jambes qu'au niveau du dessus de la tête. Mais, quand
nous voyons une Vénus dans le blanc enserré entre les papiers
bleus, nécessairement nous séparons ce blanc intérieur
du blanc extérieur, considéré alors comme "le fond"
devant lequel se dresse le volume de la Vénus
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