accueilliste des effets propres à ce paradoxe 
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tableau
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a8  deux vues incommensurables (en plan et en volume par exemple) se superposent sur une même représentation1 - cet effet s'appuie sur le paradoxe n° 8  synchronisé / incommensurable :
superposition, sur une même représentation, de vues qui n'ont aucun rapport entre elles. Bien qu'elles soient fondamentalement
hétérogènes entre elles, ces deux vues se rendent suffisamment homogènes pour se faire porter par une même forme2 - l'appui fonctionne à l'aide du paradoxe 
continu / coupé : les deux vues se relient l'une à l'autre en coïncidant sur les mêmes formes, et elles sont coupées
l'une de l'autre car elles n'évoluent pas dans des espaces qui ont le même nombre de dimensions3 - il s'organise au moyen du paradoxe 
lié / indépendant : les vues autonomes sont liées par leur support commun constitué des mêmes formes4 - il est noué par le paradoxe clef 
même / différent : une même forme correspond à des vues différentes, ou à des points de vue différentsJustification du caractère analytique de type lecture : il faut choisir de lire la scène comme une représentation unifiée, ou bien choisir de prendre en compte séparément les points de vue contradictoires qui s'y mêlent |
étape D0-23 - Matisse (1869 - 1954) - La porte noire : l'oeuvre
présente une forte ambiguïté entre le rabattement de tout
l'espace sur la surface verticale plane du tableau et la lecture de la profondeur
tridimensionnelle de l'espace qui est introduite par la vision en biais du
personnage. Ces deux visions hétérogènes l'une pour
l'autre, l'une en plan et l'autre en profondeur de perspective, réussissent
donc à se rendre suffisamment homogènes l'une avec l'autre
pour se laisser porter indistinctement par la même représentation
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