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liste des effets propres à ce paradoxe

tableau

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4 - ouvert / fermé

effet analytique a15   à la surface d'un volume fermé, s'ouvrent des découpes ou des tracés linéaires 1 - cet effet s'appuie sur le paradoxe n° 15 fait / défait : pour lire que le tracé ouvre son trajet, il faut nier le fait qu'il se produit à la surface d'un volume fermé et qu'il est donc, au même moment, en train de se refermer sur lui-même par l'effet de la courbure de la paroi qu'il suit 2 - l'appui fonctionne à l'aide du paradoxe  relié / détaché : les surfaces que sépare et détache le tracé restent reliées entre elles 3 - il s'organise au moyen du paradoxe  le centre / à la périphérie : l'effet d'ouverture produit par le tracé est stablement établi, mais le fait qu'il parcourt une surface fermée déstabilise cet effet 4 - il est noué par le paradoxe clef  entraîné / retenu : nous hésitons entre l'alternative de considérer que le tracé s'ouvre à la surface du volume et l'alternative de considérer qu'il se referme au fur et à mesure qu'il parcourt cette surface, du fait du caractère fermé du volume Justification du caractère analytique de type lecture : il faut choisir de considérer que le tracé est en train d'ouvrir son trajet ou bien choisir de considérer qu'il referme son parcours sur lui-même

l'exemple de référence

   étape D0-24 - Brancusi (1876 - 1957) - Muse endormie : la forme en œuf du visage de la Muse est un volume fermé sur lequel s'ouvre le net tracé qui part de l'arcade sourcilière, se prolonge dans l'arête du nez, et va se perdre vers le menton. Ce tracé suit l'arrondi qui referme le visage en ovoïde, de telle sorte qu'il accompagne l'effet de fermeture compacte de ce volume, en même temps qu'il ouvre un trajet à sa surface

utilisation aux époques préhistoriques

utilisation aux époques anciennes

utilisation aux époques plus récentes

utilisation à l'époque contemporaine

dernière mise à jour de cette fiche : 7 août 2004

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